Situation politique du Ganal : Différence entre versions

Version actuelle en date du 26 janvier 2017 à 16:11

Sur le plan international, le Ganal est perçu comme une dictature militaire forte tenue d'une main de fer par John Grubert, Maréchal du Ganal. Publiquement c'est lui qui parle au nom du gouvernement et son nom est associé à chaque décision important qui aux affaires du pays.

La situation réelle est plus subtile. Grubert est âge, et depuis la fin de la guerre, il se distancie de plus en plus du pouvoir. Suite à son relâchement, deux factions rivales ont émergé et s'affrontent, plus ou moins publiquement, pour contrôler le pays.

Les conservateurs du général Alistair Gregor, chef de la sécurité intérieur, ont une politique isolationniste et répressive qui s’inscrit dans la ligne politique historique du Ganal. On peut même considérer que leurs idéaux traduisent un durcissement sur de nombreuses questions.

En termes de politique intérieur, ce parti cherche à contrôler le pays en limitant les libertés individuelles. Ils n’hésitent pas à recourir à des tactiques d’intimidation, à emprisonner des citoyens sans motifs valables ou à monter des accusations de toute pièces. La condition des esclaves les intéresse peu et les conditions de vie de ceux-ci pourraient fortement se dégrader s’ils venaient à prendre le pouvoir.

En politique extérieur, les conservateurs veulent limiter les interactions avec les autres pays tout en assurant un contrôle accru sur le trafic maritime mondial grâce à la flotte militaire du Ganal.

Les libéraux, principalement issus de la marine et des troupes armées qui sont allés en campagne à l’étranger. Leur chef, l’amiral Matthew Preston, chef de la marin, souhaite que le pays subisse une réforme politique tant sur le plan de relations extérieurs que de la politique intérieure.

Ce parti prône une plus grande collaboration avec les autres nations, surtout depuis la fin de la Grande Guerre et la limitation du conflit avec le Tounoung.

En politique intérieur, il souhaite accorder plus de liberté aux citoyens, rendre la politique plus transparente et améliorer la condition des esclaves.

La présentation de ces deux tendances politiques paraît très cliché et bien sûr, la réalité sur le terrain est plus nuancée. Rare sont les personnes qui souscrive à 100% à l’ensemble de la doctrine de l’un ou de l’autre. Chaque camp possède ses figures extrémistes, mais la majeure partie des gens a une attitude moins radicale par rapport au différent problème.

Le Ganal se trouve à une étape importante de son histoire. Selon le parti qui arrivera à asseoir durablement son influence à moyen terme, le pays pourrait connaître une période sombre ou au contraire s’ouvrir vers l’extérieur.