L'Un qui est Tout : Différence entre versions

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Troisième religion en terme d'influence, l' "Un qui est Tout", est pratiquée dans la culture ahradjbla. L'"Un qui est Tout" est la divinité que vénèrent les Ahradjblas. Plus qu'une religion, elle représente la base fondatrice de leur civilisation. Elle tire son origine dans les mythes et croyances liés à la vie dans le désert. Le précepte le plus important de cette religion est que le divin est en toute chose et que toute chose doit être respectée.
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[[Fichier:Culte-Ereglerg.jpg|thumb|Les [[Ahradjbla|Ahradjblas]] sédentarisés ont construit des lieux de culte qui rendent homage à [[L'Un qui est Tout|L'un qui est Tout]].]]
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Troisième religion en terme d'influence, [[l'Un qui est Tout]], est pratiquée dans la culture [[ahradjbla]]. [[L'Un qui est Tout]] est la divinité que vénèrent les [[Ahradjbla|Ahradjblas]]. Plus qu'une religion, elle représente la base fondatrice de leur civilisation. Elle tire son origine dans les mythes et croyances liés à la vie dans le désert. Le précepte le plus important de cette religion est que le divin est en toute chose et que toute chose doit être respectée.
  
Selon la doctrine, au commencement était le désert mouvant au centre duquel se trouvait le premier homme: Aziz Neshkahi. Comme Aziz n'était pas fait pour survivre dans le désert, il se mit à marcher. Après une longue errance, survivant plus que vivant, il eut la vision d'un être supérieur, tout en étant lui-même l'entier de ce qui l'entourait: le désert, le monde, les êtres vivants...: l' "Un qui est Tout". Il lui apprit alors comment vivre dans le désert de sorte à ne former quasiment plus qu'un avec celui-ci: comment marcher sans laisser de traces, comment avancer sans se fatiguer, comment chasser, comment trouver de l'eau…
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Selon la doctrine, au commencement était le désert mouvant au centre duquel se trouvait le premier homme: [[Aziz Neshkahi]]. Comme Aziz n'était pas fait pour survivre dans le désert, il se mit à marcher. Après une longue errance, survivant plus que vivant, il eut la vision d'un être supérieur, tout en étant lui-même l'entier de ce qui l'entourait: le désert, le monde, les êtres vivants...: [[l'Un qui est Tout]]. Il lui apprit alors comment vivre dans le désert de sorte à ne former quasiment plus qu'un avec celui-ci: comment marcher sans laisser de traces, comment avancer sans se fatiguer, comment chasser, comment trouver de l'eau…
  
Pour pouvoir jouir à terme de ces bienfaits et de ces connaissances, la condition était de rester en marche, de ne pas se fixer à un endroit trop longtemps et surtout de ne jamais prononcer le nom véritable de l' "Un qui est Tout".  
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Pour pouvoir jouir à terme de ces bienfaits et de ces connaissances, la condition était de rester en marche, de ne pas se fixer à un endroit trop longtemps et surtout de ne jamais prononcer le nom véritable de [[l'Un qui est Tout]].  
  
 
Cette religion n'a pas de clergé ou d'organisation hiérarchique. Les prêtres sont des gardiens des légendes et sont de très bons guides spirituels encadrant les adeptes plus jeunes. Ils sillonnent le désert, suivant les préceptes de leur fondateur et apportant la bonne parole. La foi est un acte personnel, pas besoin de grand rassemblement pour monter sa dévotion.
 
Cette religion n'a pas de clergé ou d'organisation hiérarchique. Les prêtres sont des gardiens des légendes et sont de très bons guides spirituels encadrant les adeptes plus jeunes. Ils sillonnent le désert, suivant les préceptes de leur fondateur et apportant la bonne parole. La foi est un acte personnel, pas besoin de grand rassemblement pour monter sa dévotion.

Version actuelle en date du 11 décembre 2015 à 18:29

Les Ahradjblas sédentarisés ont construit des lieux de culte qui rendent homage à L'un qui est Tout.

Troisième religion en terme d'influence, l'Un qui est Tout, est pratiquée dans la culture ahradjbla. L'Un qui est Tout est la divinité que vénèrent les Ahradjblas. Plus qu'une religion, elle représente la base fondatrice de leur civilisation. Elle tire son origine dans les mythes et croyances liés à la vie dans le désert. Le précepte le plus important de cette religion est que le divin est en toute chose et que toute chose doit être respectée.

Selon la doctrine, au commencement était le désert mouvant au centre duquel se trouvait le premier homme: Aziz Neshkahi. Comme Aziz n'était pas fait pour survivre dans le désert, il se mit à marcher. Après une longue errance, survivant plus que vivant, il eut la vision d'un être supérieur, tout en étant lui-même l'entier de ce qui l'entourait: le désert, le monde, les êtres vivants...: l'Un qui est Tout. Il lui apprit alors comment vivre dans le désert de sorte à ne former quasiment plus qu'un avec celui-ci: comment marcher sans laisser de traces, comment avancer sans se fatiguer, comment chasser, comment trouver de l'eau…

Pour pouvoir jouir à terme de ces bienfaits et de ces connaissances, la condition était de rester en marche, de ne pas se fixer à un endroit trop longtemps et surtout de ne jamais prononcer le nom véritable de l'Un qui est Tout.

Cette religion n'a pas de clergé ou d'organisation hiérarchique. Les prêtres sont des gardiens des légendes et sont de très bons guides spirituels encadrant les adeptes plus jeunes. Ils sillonnent le désert, suivant les préceptes de leur fondateur et apportant la bonne parole. La foi est un acte personnel, pas besoin de grand rassemblement pour monter sa dévotion.

On ne trouve aucun prêtre établi de manière fixe dans une ville. Certains vont de ville en ville et de pays en pays alors que d'autres sont rattachés à une tribu nomade. Lorsque deux tribus se rencontrent les prêtres ont à cette occasion l'opportunité d'échanger leur vision de la foi. Toutefois dans certaines tribus importantes des prêtres plus âgés font autorité.

Le culte s'accompagne d'un certain nombre d'obligations: ne jamais prononcer le vrai nom de la divinité ; ne jamais chercher à le savoir ; conserver une vie nomade ; donner l'hospitalité à tout autre nomade ; respecter son hôte ; respecter le désert et ses offrandes.

Selon la légende, il existerait une oasis nomade, changeant perpétuellement d'emplacement qui fournirait nourriture et eau aux voyageurs mais de par sa nature elle serait extrêmement difficile à trouver et ne serait accessible qu'aux plus grands croyants.